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jeudi 23 juin 2011

Commentaire: Débarcadères de Jules SUPERVIELLE


Jules Supervielle, poète du XXeme siècle, publie Débarcadères en 1927. Cette oeuvre exprime l'amour qu'a le poète pour Marseille qui est le titre de l'extrait. Que représente Marseille pour l'auteur ? Nous verrons dans un premier temps, dans ce poème en vers libre, la manière avec laquelle le poète décrit la ville puis les relations qu'il entretient avec Marseille.

Du vers un au vers quatre, Marseille est décrite comme une ville de la mer avec notamment le début, "Marseille sortie de la mer" où la ville est décrit comme si elle née de la mer ("poissons"; "coquillages"; "d'eau maritime";...). Au vers onze, on voit que Marseille est une ville où la météo y est agréable et où il fait chaud, "Ici le soleil pense tout haut, c'est une grande lumière qui se mêlent à la conversation". c'est une ville où les gens discutent et aime
partager: "Et réjouit les gorges des femmes" (vers treize). Marseille est aussi très accueillante avec "les nouveaux" et les intègrent dans la ville (vers quinze). Il y a une anaphore avec la conjonction de coordination "Et" qui montre l'insistance de l'auteur et une énumération au vers neuf, "Leurs verres, leurs tasses, leurs seaux à glace et leurs alcools" sans oublier
l'allitération au vers dix-sept: "regarde à travers les barreaux". Donc on remarque que l'auteur décrit d'une manière positive Marseille et cela nous laisse penser qu'il a un lien avec cette ville.

L'auteur aime Marseille puisqu'il utilise des mots pour rendre merveilleux aux yeux des lecteurs ("beau" vers cinq). le vers sept: "les cafés enfantent", est une personnification qui montre que la ville reste jeune et joyeuse. on voit que l'auteur adore cette ville et qu'il aime aussi beaucoup l'observer aux vers vingt, "que nous nous regardions un peu". Jules Supervielle est amoureux de cette ville, il parle à Marseille comme à une femme donc il y a une personnification de la ville: "Je voudrais te prendre dans un coin, te parler avec douceur".

On peut conclure que la ville de Marseille est très importante pour le poète Jules Supervielle car il le décrit comme la ville parfaite. On peut imaginer qu'elle représente beaucoup pour l'auteur.



mercredi 22 juin 2011

Sujet Français: Mise en scène personnelle de Dom Juan


Le personnage de Dom Juan a été créé par le dramaturge espagnol Tirso de Molina en 1630 puis en 1665 il est repris par Molière. L’irrégularité de cette pièce, écrite en prose et qui ne respectent pas la règle des trois unités, avait conduit certains critiques a considéré qu’elle avait été écrite à la hâte ce que d’autres contestent. Il y a déjà eu plusieurs mises en scène de Dom Juan dont celle de Roger Plancho. Mais pour cette représentation, j’ai décidé de la moderniser et de prendre un thème qui tourne autour de la mafia et de tout ce qui consterne les parrains. Pour cela, je me suis donc inspiré de Al Capone un gangster américain. Dans cette représentation, Dom Juan se trouve dans le quartier de Brooklyn à New York. Vers le début du XXeme siècle. Il est vêtu d’un costume noir, un chapeau et dans la main, un cigare. C’est gangster qui avait demandé à plusieurs femmes leurs mains mais sans tenir ses promesses. Dans l’acte cinq, scènes quatre, cinq et six dom juan doit répondre de ses actes. Le ciel lui donne une dernière chance pour se repentir: « SGANARELLE - Ah! Monsieur, c’est le ciel qui vous parle, et c’est un avis qu’il vous donne ». Le spectre sera vêtu de blanc et un projecteur Fresnel augmentera au fur et à mesure qu’il s’approche de notre héros J’ai décidé de représenté le spectre comme révélation divine ou un ange et avec la voix de Done Elvire car les italiens sont très croyants ce qui est aussi l’état d’esprit des gens lorsque Molière publie sa pièce (1665). Dans cette mise en scène, Sganarelle sera comme le bras droit de Dom Juan. Il sera vêtu de noir et aura une valise à la main. Sganarelle, lui, a peur des avertissements que le ciel envoie surtout lorsqu’il voie apparaître le spectre (« SGANARELLE - Ah! Monsieur, rendez-vous à tant de preuves, et jetez vous dans vite dans le repentir ») contrairement à son ma pitre on peut le voir dans cette réplique « DOM JUAN - Non, non, rien n’est capable de m’imprimer de la terreur, et je veux éprouver avec mon épée si c’est un corps ou un reprit ». Lorsque la statut du commandeur fait son entrée, c’est une ancienne connaissance de Dom Juan qu’il avait assassiné. Pour commencer, on verra l’apparition de la statut grâce à une lumière noir qui permet de la voir s’avancer à partir des coulisses. Elle vient se venger pour ne pas avoir tenu sa promesse de partager un repas: « LA STATUT - Arrêtez, Dom Juan: vous m’avez hier donné parole de venir manger avec moi. ». Pour ne pas avoir tenu cette promesse et celles de ses conquêtes, Dom Juan est jeté aux enfer: « LA STATUT - […] les ciel que l’on renvoie ouvrent un chemin à sa foudre ». Pour finir, on voit s’apitoyer sur son sort en réclament ses gages: « Ah! Mes gages! Mes gages »