Le personnage de Dom Juan a été créé par le dramaturge espagnol Tirso de Molina en 1630 puis en 1665 il est repris par Molière. L’irrégularité de cette pièce, écrite en prose et qui ne respectent pas la règle des trois unités, avait conduit certains critiques a considéré qu’elle avait été écrite à la hâte ce que d’autres contestent. Il y a déjà eu plusieurs mises en scène de Dom Juan dont celle de Roger Plancho. Mais pour cette représentation, j’ai décidé de la moderniser et de prendre un thème qui tourne autour de la mafia et de tout ce qui consterne les parrains. Pour cela, je me suis donc inspiré de Al Capone un gangster américain. Dans cette représentation, Dom Juan se trouve dans le quartier de Brooklyn à New York. Vers le début du XXeme siècle. Il est vêtu d’un costume noir, un chapeau et dans la main, un cigare. C’est gangster qui avait demandé à plusieurs femmes leurs mains mais sans tenir ses promesses. Dans l’acte cinq, scènes quatre, cinq et six dom juan doit répondre de ses actes. Le ciel lui donne une dernière chance pour se repentir: « SGANARELLE - Ah! Monsieur, c’est le ciel qui vous parle, et c’est un avis qu’il vous donne ». Le spectre sera vêtu de blanc et un projecteur Fresnel augmentera au fur et à mesure qu’il s’approche de notre héros J’ai décidé de représenté le spectre comme révélation divine ou un ange et avec la voix de Done Elvire car les italiens sont très croyants ce qui est aussi l’état d’esprit des gens lorsque Molière publie sa pièce (1665). Dans cette mise en scène, Sganarelle sera comme le bras droit de Dom Juan. Il sera vêtu de noir et aura une valise à la main. Sganarelle, lui, a peur des avertissements que le ciel envoie surtout lorsqu’il voie apparaître le spectre (« SGANARELLE - Ah! Monsieur, rendez-vous à tant de preuves, et jetez vous dans vite dans le repentir ») contrairement à son ma pitre on peut le voir dans cette réplique « DOM JUAN - Non, non, rien n’est capable de m’imprimer de la terreur, et je veux éprouver avec mon épée si c’est un corps ou un reprit ». Lorsque la statut du commandeur fait son entrée, c’est une ancienne connaissance de Dom Juan qu’il avait assassiné. Pour commencer, on verra l’apparition de la statut grâce à une lumière noir qui permet de la voir s’avancer à partir des coulisses. Elle vient se venger pour ne pas avoir tenu sa promesse de partager un repas: « LA STATUT - Arrêtez, Dom Juan: vous m’avez hier donné parole de venir manger avec moi. ». Pour ne pas avoir tenu cette promesse et celles de ses conquêtes, Dom Juan est jeté aux enfer: « LA STATUT - […] les ciel que l’on renvoie ouvrent un chemin à sa foudre ». Pour finir, on voit s’apitoyer sur son sort en réclament ses gages: « Ah! Mes gages! Mes gages »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire